Vous avez un rendez-vous téléphonique avec un client.
Vous vous préparez en amont avec minutie de peur qu’on ne vous pose une question à laquelle vous ne sauriez pas répondre. Vos petites notes sont prêtes.
L’appel arrive.
Et là, la nervosité entre en jeu, vous vous entendez parler de plus en plus vite, vous bafouillez, vous êtes de plus en plus en apnée de peur de reprendre votre respiration et que cela se remarque (oui, oui, vous voyez de quoi je parle).
Au bord de l’asphyxie, l’appel se termine : Alors au final, vous vous en tirez plutôt pas mal car vous avez transmis des informations, mais vous vous en voulez de ne pas avoir agi en « professionnel(le) »